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Des Sciences Politiques à l’humanitaire

Dernière mise à jour : 3 déc. 2018



Ancienne étudiante de Sciences Politiques, Manon Lévêque s’est progressivement dirigée vers l’humanitaire, parcours dont elle témoigne ici :


Apres la licence de Sciences Politiques, je souhaitais me spécialiser dans le management d'établissements medico-sociaux et pouvoir mettre mes competences de généraliste au service des plus fragiles. J'ai donc effectue un Master 1 en alternance dans cet objectif. Bien que passionnée par ce domaine, je me suis très vite aperçue qu'avant d'accéder à un poste à responsabilités, il était nécessaire d’avoir de l'experience dans la solidarité internationale. Et ce, afin de rencontrer d'autres cultures, de comprendre le monde qui m'entoure et de renforcer ma capacité d'adaptation! J'ai donc intégré un Master 2 Solidarité et Action Internationales à l'Institut Catholique de Paris. Apres six mois de cours, je suis désormais en stage au Vietnam dans une ONG qui fait du WASH : apporter l'accès à l'eau et les installations sanitaires dans les écoles, réduire la mortalité infantile, améliorer l'education et la santé, favoriser l'emancipation des femmes, apporter de la dignité et du bien-être… le WASH c'est tout ça et bien plus encore! Je suis notamment en charge de la communication et de la levée de fonds. Dans le respect et l'objectif d'autonomie des populations, ce sont les locaux qui œuvrent sur le terrain. Les postes de coordination et de logistique s'inscrivent bien dans la suite d'une licence de Sciences Politiques.

Les connaissances variées et la méthodologie acquises a l'ICES m'accompagnent au quotidien ! Elles sont un socle solide auxquelles se sont ajoutées les nombreux témoignages et conferences me permettant d'accroitre ma capacité de discernement. Veritable lieu de rencontre, de débat et de respect de nos differences, l'ICES m'a aide a developper ma singularité. Le cadre d'apprentissage ideal et la bienveillance du personnel sont source de sérénité qu'il faut tenter de preserver même après.


Manon Lévêque


Article paru dans la Ruche 1 — avril 2017

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